Discours de Villepin à l'ONU contre la guerre en Irak

Discours !! Digne d'un grand homme d'Etat !! J'écoute ces paroles, et je me sens fière d'etre Français !! Merci Monsieur Dominique De Villepin !!

Bienvenue sur ce blog de soutien à la candidature de Dominique de Villepin

Dominique de Villepin, 18 avril 2011 !!
Je ne veux pas participer à une aventure qui décevrait les Français. Ça implique d'être ambitieux, d'être capable de refonder notre vie politique, refonder notre vie économique et sociale (...). C'est aux citoyens de prendre le pouvoir, c'est au peuple français de prendre le pouvoir, et ça veut dire ne pas laisser les hommes politiques s'arranger entre eux.

lundi 27 février 2012

Le voilà en campagne le super menteur de la République !!


Fidèle à lui-même, celui qui méprise la France « d’en bas » ose affirmer, sans bégayer, qu’il veut « aller vers le peuple », ne s’adresser « qu’au peuple », ne vouloir travailler que « pour le peuple », « donner la voix au peuple » ? Mais c’est à vomir d’entendre çà de la part de celui qui a dépouillé ce même peuple de tout ses acquis sociaux, l’a réduit à la pauvreté extrême, au chômage, à l’impossibilité même de se soigner correctement, l’a voué à l’angoisse du lendemain, à la précarité la plus extrême !!


Ces propos bassement électoralistes sont tout simplement obscènes !!


Les français vont-ils encore une fois se laisser prendre aux mensonges de Sarkozy qui ne prend même pas la peine de les renouveler !! Ce sont les mêmes mensonges, les mêmes phrases clé ressassées depuis son entrée en politique il y a 30 ans !! Un petit montage de Canal + sur les discours de Sarko tout au long de sa carrière en a donné la preuve irréfutable !!


Alors ? Cette fois encore, les belles promesses électoralistes vont-elles faire oublier aux français que Sarko les a déjà faites en 2007, à l’identique, comme si les souffrances, les injustices et les affronts des 5 années écoulées n’avaient pas existées ?


Mais comme si ça ne suffisait pas dans l'imposture verbale, voilà que Sarko charge son adversaire de ses propres fautes, ce n’est plus lui mais l’autre qui est « menteur », « lâche », « incompétent » et j’en passe !! Et là encore Sarko est tellement sûr que le « peuple » n'est qu'un couillon qui gobe n'importe quelle vanne, qu’il sort ces énormités sans la moindre hésitation dans la voix !!


Est-ce que les français vont donner raison à cet insupportable vaniteux, imbu de lui-même et convaincu de sa supériorité au point de le proclamer à la face de ses ministres ?
Est-ce que les français vont se laisser prendre au piège des mensonges, pour ne pas dire des diffamations de ce triste individu ?


Leur mémoire est-elle si courte qu’ils ont déjà oubliés le président bling-bling, ses dépenses somptuaires, son goût du luxe et du paraître ?


Les ouvriers de 2007 devenus chômeurs en 2012 parce que Sarkozy n’a pas tenu la promesse qu’il était allé leur faire au cœur de leur usine menacée de fermeture : « Si je suis élu je sauverai votre usine ! » vont-ils voter pour Sarkozy ?


Les assistés sociaux qui ont vu les aides de l’état se volatiliser implacablement et qui sombrent de la pauvreté dans la misère vont-ils voter Sarkozy ?


Les chômeurs, toujours plus nombreux et que Sarko veut « remettre au travail » dans des emplois soi-disant de formations mais assurément sous-payés vont-ils voter pour Sarkozy ?
Ceux qui luttent pour empêcher les fermetures des cliniques, maternités et hôpitaux de proximité victimes d’un plan de la santé meurtrier pour les plus modestes d’entre nous vont-ils voter


Sarkozy ?


Les fonctionnaires de la santé et de l’enseignement publics qui voient leurs postes supprimés par milliers vont-ils voter Sarkozy ?
Les parents d’élèves qui voient les écoles, les collèges, les lycées dans l’incapacité, faute de personnels et de moyens, d’assurer un enseignement correct mais aussi la sécurité physique de leurs enfants vont-ils voter pour Sarkozy ?


Les agriculteurs, les viticulteurs, les PME, exsangues à cause d’un gouvernement qui les étrangle de taxes de plus en plus lourdes et les condamne à disparaître dans un monde où ils n’auront plus leur place vont-ils voter Sarkozy ?


Sûrement pas !!


Mais Sarkozy est l’ami des puissants, des « très » puissants et il les a bien servis à ces rapaces durant toute sa carrière politique, en particulier au cours des 5 dernières années !! Or, avec l’argent, le pire est possible, peut-être même fausser des élections… personnellement, voyant ce qui se passe ou plutôt ce qui ne se passe pas dès qu’il s’agit des « puissants » de ce monde, je suis inquiet.



dimanche 26 février 2012

La politique divise les gens

Lorsque des amis parlent du monde qui les entoure, ils évoquent souvent ce qui ne va pas, et ce qu'ils y changeraient. On sent l'invincible puissance du "tous ensemble", slogans censés évoquer une masse indivisible, entièrement tournée vers un but unique et glorieux.

Mais dès qu'un de ces amis décide de passer de la parole à l'action, il doit choisir parmi plusieurs options politiques. Et là, curieusement, tous ses anciens amis se détournent de lui. Parce que le fonctionnement politique d'une démocratie électorale passe par un phénomène entropique formidable : l'opinion.

Les opinions, tout le monde en a de différentes, d'autant plus que beaucoup les adoptent sans trop y réfléchir. Toutes les mettre sur le marché permet qu'elles se combattent les unes les autres sans jamais mettre en danger le système de domination en place.

Les opinions sont d'autant plus efficaces pour diviser qu'elles s'appuient sur trois piliers principaux : l'individualisme, la morale et l'idéologie.

Il suffit pour s'en convaincre de suivre les forums d'opposants en période d'élections présidentielles, outre le fait que ces élections octroient beaucoup moins de pouvoir qu'on ne le croit souvent au candidat élu et donc de potentialités d'agir sur le système pour ses électeurs.

- l'individualisme

Tout le monde prône l'union contre le système, la résistance, et un tas de slogans qui ne mettent pas en avant le mode d'action. Mais concrètement, on trouve un vote à ma gauche, un vote à ma droite, un vote blanc...

S'ils admettent que le système n'est pas bon, ils vouent un culte aux moyens de sa légitimation : l'élection et surtout la liberté individuelle du vote. Et aucun des candidats ne décolle.

Les chrétiens fondamentalistes aux États-Unis ne sont forts que parce qu'ils votent TOUS républicain. L'idéal est un candidat majoritaire avec leurs voix et minoritaire sans elles.

Deux écueils :

Le premier est que tout candidat élu gagne aussitôt des soutiens et peut ne plus avoir besoin du groupe considéré pour conserver la majorité.

Le second est d'adhérer aux partis politiques, ce qui contraint presque automatiquement à un soutien sans conditions. Les lobbies les plus forts n'adhèrent pas aux partis.

Ces deux écueils sont d'autant plus fréquents la société est à l'individualiste et éclatée. D'une part, il n'y a pas d'oppositions de classes ou d'intérêts dans le débat politique tel que les antisystèmes puissent se prémunir d'un soutien extérieur massif à leur candidat. Et surtout il n'existe rien d'autre pour grouper les intérêts des antisystèmes que d'adhérer directement aux partis.

Mais la plus grande faiblesse des antisystèmes est leur refus de la discipline de groupe. Et comme ce refus forge souvent leur identité, ils sont condamnés à échouer.

- l'idéologie

Les idées claires sont importantes. La rigidité idéologique assure elle un clivage définitif entre des groupes dont aucun n'est en mesure d'exercer le pouvoir. Ainsi l'ennemi principal d'un militant anarchiste est le militant trotskyste, dont il n'a de cesse de dénoncer les turpitudes. L'immense culture politique du Courant Communiste International (CCI) leur permet avant tout de dénoncer le déviationnisme de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), sans que l'on n'y comprenne goutte. Grâce à l'idéologie, "ce qui nous divise est plus important que ce qui nous rassemble."

- la fausse morale

La morale en politique a des liens étroits avec la rigidité idéologique. Là où l'idéologie sert à diviser les obédiences proches, la morale sert à dénoncer les courants dont on se trouve plus éloigné sans avoir à faire l'effort de les comprendre. Ainsi, si sur des bases antisystèmes proches, l'un fait le choix stratégique d'intégrer le Front National (FN), et l'autre, sur une base plus idéologique, choisit le Parti Communiste Français (PCF), ils sont condamnés à ne plus se parler autrement qu'en s'insultant.

"Tous ensemble", d'accord, sauf avec - au choix - les rouges-bruns, les nationalistes, les extrémistes, les droitiers, les gauchistes, les plus infréquentables que soi, etc.

Grâce à ces trois piliers, le système s'assure de la division de ses adversaires, qu'ils confondent l'action politique vraie (qui change les choses) avec le droit de présenter ses idées, le débat, la spéculation intellectuelle et le cirque électoral.

Dans 100 ans, si le monde est encore là, le dit système n'aura jamais été mis en danger. Des gens se présenteront encore aux élections, avec pour perspective de passer de 2 à 2,5% des suffrages exprimés, ce qui de leur point de vue constitue un grand soutien populaire pour le changement.

Celui qui veut avancer spirituellement se méfie des opinions prédigérées, et surtout ne s'illusionne pas sur la possibilité de changer le monde par la politique.

Mais être lucide ne doit pas conduire à l'inaction. Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, disait Guillaume d'Orange.

La spiritualité de gauche (le monde peut être amélioré) et la spiritualité de droite (le monde est mauvais, ET n'essayons pas de le changer car cela ne peut qu'aggraver les choses.) sont également fausses. Le monde est en grande partie mauvais, et il est largement illusoire de penser que nous pouvons le changer. Mais ne pas essayer conduit à l'ennui, et l'ennui étant le père de tous les vices, il conduit à la collaboration avec le système. Alors que l'expérience de l'action permet de grandir spirituellement et d'aider les autres à le faire bien plus sûrement que de rester dans sa chambre à lire les philosophes et les ésotéristes.

D'ailleurs, l'économie est une excellente école de quatrième voie.




CAPELLE

mercredi 22 février 2012

SONDAGES PERNICIEUX POUR TROUBLER LES INDÉCIS ET LES PEUREUX DU LENDEMAIN !!

Présidentielle : L'écart se resserre entre François Hollande et Nicolas Sarkozy
LA COURSE 2012 - C'est ce que montre le 16e sondage CSA pour « 20 Minutes »...
L’écart se resserre. Un petit point sépare désormais Nicolas Sarkozy de François Hollande dans les intentions de vote au premier tour, selon notre baromètre CSA.

Le candidat socialiste, à 28%, perd deux points tandis que le président de la République, à 27%, gagne un point.

Que l'écart se resserre peut être mais ce ne sont que des sondages !!

Et à la limite logique N.SARKOZY est entré en campagne !!

Ceci étant ce n'est pas compliqué, si vraiment les électeurs qui sont contre N.SARKOZY ET SA POLITIQUE ainsi que la clique qui l'entoure que l'on ne doit pas oublier avaient l'intelligence de s'unir au PREMIER TOUR au lieu de s'éparpiller entre les autres partis et leurs candidats qui ne seront pas élus de toute façon (je ne les cite pas on les connait)

Le problème serait réglé !!
Car s'il ne passait pas le 1er tour, d'autre choix s'ouvriraient (hors FN bien sur)

Par contre si les indécis (et il y en a hélas encore qui n'ont pas compris) se laissent une fois de plus enfumer, anesthésier par le président sortant et enfonce le clou par exemple à son prochain passage sur FR2 interrogé par Pujadas, je ne crains que les Français soit impardonnables !!

Et les français mériteraient la punition, car semble-t-il c’est qu’ils n'auraient pas encore assez souffert et ils s'ouvriraient une porte plus grande sur un avenir encore plus dur !

Rappel 10% de chômeurs sans compter les emplois précaires, 1600 euros de salaire moyen, des queues qui s'allongent aux associations caritatives, des mal logés qui augmentent, des frais de santé que certains ne peuvent plus payer, des impôts et taxes toujours plus nombreux etc etc…

Donc c'est simple si les Français reconduisent la politique actuelle et notre président c'est qu'ils sont masochistes !!

Il est difficile de comprendre nos compatriotes si versatiles qui peuvent changer d'avis seulement sur des belles paroles, le bilan du Sarkozisme est médiocre, c'est cela qui compte pour juger et voter !!

Enfin moi qui suis pessimiste connaissant bien mes compatriotes et leur versatilité de par mon âge avancé (je vote depuis de Gaulle) je me dis que si c’est N.SARKOZY qui repasse (et bien au moins il n'ira pas plus loin que 2017 seule consolation)

C’EST PARTI 60 JOURS DE PROMESSES POUR GARDER SA PLACE DE PRÉSIDENT


La proportionnelle, une adhésion majoritaire


LA COURSE 2012 - Tous les sympathisants des partis, de LO au FN, sont favorables à la mesure proposée par Nicolas Sarkozy...

C’est la seule mesure proposée par Nicolas Sarkozy qui semble emporter l’adhésion des Français: 64 % des sondés du baromètre CSA se disent favorables à l’introduction de la proportionnelle aux législatives, proposée par Nicolas Sarkozy dimanche à Marseille.

C'est le genre de promesse qui plait à tous les électeurs surtout en France avec la multiplicité des partis (surtout les petits partis qui ne sont pas représentés à l'assemblée nationale)

Mais c'est une promesse électorale on sait ce quelles valent....
(Et encore aussi, ce ne serait qu'une part de proportionnelle)

Parallèlement à cela la droite et la gauche n'ont rien changé mais le président promettrait la lune pour être réélu !!

D'ailleurs comme d'autres promesses on peut toujours lui rétorquer pourquoi ne l'a-t-il fait avant depuis 2007 ?
LES FRANÇAIS JUGERONT ILS ONT 60 JOURS POUR SE FAIRE ROULER DE NOUVEAU
( par notre super menteur de 2007 )





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mardi 21 février 2012

LE SORTANT N’A QU’A SORTIR POUR UNE FOIS IL RENDRA SERVICE AUX FRANÇAIS









Une affiche de Nicolas Sarkozy dans son QG de campagne (600m2) à Paris, le 18 février 2012


Le président de la République, qui a officialisé sa candidature à sa propre succession, tient ce dimanche à Marseille son premier grand meeting...


«La France» et les «Français»: c'est ce que Nicolas Sarkozy a prévu d'évoquer ce dimanche, pour son premier grand meeting de campagne, à Marseille. Cela devrait lui permettre d'exalter à nouveau les «valeurs» du travail ou de l'identité nationale.


Plus de 10.000 personnes sont attendues par les organisateurs au parc Chanot, pour ce meeting qui débutera à 15H30 et devrait durer deux heures environ. C'est le premier grand meeting de soutien organisé en région par le parti majoritaire, l'UMP, et la deuxième réunion publique de Nicolas Sarkozy depuis sa déclaration de candidature, mercredi.


Pour faire simple ce 1er meeting ne sera pas le dernier, de toute façon cela ne sert qu'à réunir les pro-Sarkozy !! Un spectacle grand show avec en plus Carla Bruni pour faire bonne figure pauvre France !!


D'ailleurs c'est valable aussi pour le F. Hollande (PS) et les autres candidats inutile dans faire un déballage !!


Aller à un meeting c'est du temps perdu, il est préférable d'écouter les débats organisés sur les chaines de télés ou mieux une confrontation des deux candidats livrés face à face entre eux s'ils sont organisés bien sur, pour ceux que cela intéressent !!


Il est difficile de comprendre ces foules qui hurlent pour "untel" président et qui se laissent manœuvrer par des tribuns orateurs qui disent rarement ce qu'ils pensent, mais qui promettraient la lune, si cela pouvait leur donner le pouvoir


Et çà marche !!


A chaque fois les Gogos sont là, donc il me semble qu'il faut changer, quand un président a déçu à ce point semble-t-il une majorité de Français, ce n'est pas en 60 jours qui reste qu'il changera de politique, se serait illogique car "chasser le naturel il reviendra au galop" !!


AVALER DES COULEUVRES OU SE TROMPER UNE FOIS C'EST PERMIS, DEUX FOIS C'EST IMPARDONNABLE !


Il faudrait aussi que les électeurs Français pensent enfin à eux, parce que c'est leur destin et celui de la France pour 5 ans, qui se joue et non pas celui de l'homme qui se présente, qui lui a son avenir assuré, quoi qu'il arrive et qui n'est pas « un messie sauveur » !!






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lundi 20 février 2012

Le thème de l'économie domine la campagne présidentielle


POLITIQUE - La plupart des clignotants sont au rouge...

Crise de la dette, réduction des déficits, réindustrialisation: jamais sous la Ve République une campagne présidentielle n'est apparue autant dominée par les enjeux économiques.
Quel qu'il soit, le prochain locataire de l'Elysée devra affronter d'emblée une situation budgétaire tendue. Certes, la croissance positive (+0,2%) au dernier trimestre 2011 a écarté provisoirement le spectre d'une récession, et les déficits publics ont été contenus l'an dernier sous la barre des 5,7% du PIB, comme la France s'y était engagée.

Pour autant, le rouge reste, du commerce extérieur à la dette en passant par l'emploi, la couleur dominante des grands indicateurs du pays

Tous prônent l'économie, çà si on n’a pas compris, c'est que nous sommes bêtes à manger du foin !!

Mais depuis 17 ans et même avant qui a dépensé sans compter ?!! Et en 2007 !!

La crise de 2008 n'a été que le détonateur d'une bombe à retardement, ce qui n'a pas empêché notre président actuel de dépenser à tout va en disant qu'il fallait faire des économies !!

Mais sur le dos de qui ?!!
Tout le monde est d'accord : Des plus faibles ou classes moyennes qui bien sur sont les plus nombreux à qui l'on puisse prendre ce qui leur reste !

Mais surtout ne pas trop toucher aux plus riches qui devraient être solidaires (même un peu)

Il n'a pas sut s'adapter efficacement à ses crises et ait resté droit dans ses bottes et a menti bien sur avec des ministres des finances et du budget qui ont osé dire que cela allait mieux que le pays était le moins mauvais à subir ces événements que la crise était derrière nous etc, notamment Mme LAGARDE et son faux optimisme dont elle nous rabâchait sans cesse

Qui a accumulé les échecs, les mensonges, les promesses non tenues, qui à augmenter sans cesse les taxes et impôts indirects !!?

Doit on voter pour une poignée de richards bobos et toujours travailler plus (pour gagner moins) pour un président parvenu, orgueilleux qui n'a rien compris aux Français !!

(Sauf que se sont des vaches à lait qu'il faut encore traire pour le lait qui le reste encore)

Si N.SARKOZY venait à être réélu le nombre de pauvres ou de travailleurs précaires augmentera encore et de plus, étant donné qu'il sera réélu, la pression s'accentuera (du fait qu'il pensera avoir raison et ce qui augmentera son égo déjà démesuré car plébiscité par les Français)

Cet homme ne travaille pas pour tous le Français ?

Seulement ceux de son monde, il faut que les électeurs le comprennent et ne fassent pas la même erreur qu'en 2007 !!

Attention à ne pas se laisser enfumer et anesthésier par ses talents d'orateur dont les discours son écrits par des spécialistes et dont il ne pense pas un mot

Le fait d'aller serrer des mains dans des bains de foule en province ou ailleurs avec de beaux sourires et en embrassant les petits enfants est hypocrite et de la poudre aux yeux pour gogos !!

Il faut enfin que les Français se réveillent et deviennent exigeants pas serviles à des politiciens hypocrites et n'hésitent pas à changer quand il le faut il est temps !!

dimanche 19 février 2012

PS et UMP !! Curieusement tous les deux veulent le pouvoir

PS et UMP !! Curieusement tous les deux veulent le pouvoir pour prendre en charge un pays bien malade économiquement et psychologiquement et influencé indirectement par les commentaires des médias et leurs sondages médiatiques ces politiciens de tous bords sont passés maitres pour manœuvrer l'opinion des Français c'est ce qu'ils font de mieux entraînés qu'ils sont depuis des décennies les médias ont choisi leurs candidats comme d'habitude en oubliant les autres !!

Les candidats se traitent de menteurs, mais quels politiciens ne sont pas plus ou moins menteurs ?? Il me semble pourtant que le choix est simple il faut savoir choisir et surtout au premier Tour !! Voter pour le candidat sortant, mais là, le risque est important, car ce serait augmenter l'égo de Sarkozy qui lui donnera encore plus de pouvoir et de renforcer des mesures rigides du fait qu'il se dira vous avez voté pour moi en 2007 donc j'avais raison et il se permettra tout avec son interprétation personnelle de la démocratie cette idée de référendum sur le chômage en est un exemple !!

Les fameuses promesses ou réformes qui sont là que pour ne pas être tenues depuis toujours que les Français subissent parce qu'ils n'ont pas vraiment leur mot à dire il ne faut pas en tenir compte ce ne sont que des arguments de campagne et en fonction des événements en 5 ans certaines sont abandonnées !!
Alors pour quoi en reprendre pour 5 ans de Sarkosisme qui a été un fiasco !! Essayons autre chose que Sarkozy Il n'y a qu'une seule méthode pour essayer d'évoluer c'est Dominique De Villepin !!

LES FRANÇAIS DEVRAIENT AVOIR PLUS DE COURAGE ET NE PAS SUBIR COMME DES MOUTONS !!

mercredi 8 février 2012

Azouz Begag : "Guéant est l'appât des électeurs du FN"












Azouz Begag, écrivain, chercheur en économie et sociologie eu CNRS, est également un homme politique doublement engagé qui milite à la fois au MoDem au côté de François Bayrou qui l’a accueilli dès 2007, et à République Solidaire, le mouvement de l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin dont il fut le ministre délégué à la Promotion de l’égalité des chances. Il a publié chez Belin, au printemps, "...C'est quand il y en a beaucoup..." et sera dimanche à Giens avec François Bayrou pour le discours de clôture de l’université de rentrée du MoDem

Comment peut-on être à la fois membre du MoDem et de République Solidaire ?

La fidélité est une valeur fondamentale et l’idée de trahir Dominique de Villepin sans qui je ne serais jamais devenu ministre est à l’opposé de ce que je suis. Contrairement à tous ceux qui lui doivent leur entrée au gouvernement puis l’on trahi.  Je pense en particulier à son directeur de cabinet, Bruno Le Maire.

A quoi devez-vous votre fidélité à François Bayrou ?

Au moment de la création du Mouvement Démocrate, François Bayrou m’a offert une assise au sein du MoDem. On a l’air d’un con quand on est fidèle, mais les Français aiment bien ce genre de con. Parce qu’ils ont le sentiment que la politique est une jungle dans laquelle aucune valeur n’est respectée.

Comment avez-vous réagi à la relaxe de Dominique de Villepin dans l’affaire ClearStream?

Sarkozy n’a pas pu, comme il le souhaitait, pendre Dominique de Villepin à un croc de boucher.

Et aux révélations affirmant que Villepin aurait reçu des millions provenant d’Afrique ?

Avec cette affaire, c’est la démocratie qui prend un coup de bate de base-ball dans les genoux. Tout cela participe à l’écœurement, au dégoût global des Français et à restaurer la place de Marine Le Pen. Mais cette chronologie dans les affaires montre bien comment, dans la sarkozie, on craint la candidature de Villepin.

Sera-t-il candidat ?

Désormais, la voie est libre pour Dominique de Villepin d’annoncer sa candidature et de nuire ainsi considérablement à celle de Sarkozy. Son pouvoir de nuisance est extrême.

Un ticket Bayrou-Villepin est-il possible en 2012 ?

Je suis dimanche avec François Bayrou à Giens et lundi à Paris avec Dominique de Villepin. Ils le savent et savent aussi que le ticket Villepin-Bayrou ou Bayrou-Villepin est un ticket à 15 ou 16%.

Que pensez-vous de l’avenir politique de Jean-Louis Borloo ?

Pour Borloo, c’est trop tard. Il a montré qu’il était capable de cautionner la politique de Sarkozy au plus fort de la campagne de 2007, sur des bases islamophobes, xénophobes et identitaires. Impensable quand on est républicain et gaulliste

Et l’avenir d’Hervé Morin ?

C’est exactement la même chose. Ce sont des gens sans scrupules, aujourd’hui amers et décus. Mais par leur attitude, ils mettent en valeur le point extrêmement fort de François Bayrou qui est sa cohérence depuis le début.

Vous voyagez beaucoup, quelle image a la France à l’étranger ?

Aujourd’hui, partout où je vais dans le monde, on compare Sarkozy à Berlusconi. Sarkozy était l’homme de la rupture, il l’a bien faite, mais dans le sens d’une dégradation de l’image de la France.

Que pensez-vous de l’intervention de la France en Libye ?

Je suis persuadé que la Libye va se tribaliser et sera le nouvel Irak français. On va rester la tête dans le sable libyen pour longtemps.

Quelle différence faites-vous entre Hortefeux et Guéant ?

Aucune. Ce sont des amis de trente ans de Sarkozy et ils appliquent à la lettre sa volontée de ne pas laisser les électeurs du Front national à Marine Le Pen. Hortefeux et Guéant sont les appâts des électeurs du FN.

Participerez-vous à la primaire socialiste ?

Oui parce que je considère que le périmètre des valeurs socialistes est le périmètre des valeurs universelles françaises et pas seulement de gauche. J’ai le droit, le devoir même, de participer à choisir qui au PS sera à même de battre Sarkozy. Et j’ai choisi François Hollande.

Quel rôle jouerez-vous dans la présidentielle de 2012?

Mon objectif est de retrouver la France d’avant Sarkozy, de contribuer à faire battre Nicolas Sarkozy et ce qu’il représente pour la France. Que ce soit avec François Hollande, Dominique de Vilelpin ou François Bayrou, je suis preneur.

lundi 6 février 2012

Dominique de Villepin poursuit sa campagne en Côte-d’Or

Candidat à la présidence de la République, Dominique de Villepin est en visite en Côte-d’Or ce lundi. Il est l’invité de la CGPME et de son président, Patrice Tapie, qui a pris contact avec tous les candidats en leur proposant de venir à la rencontre des chefs d’entreprise du département.

Interview au Journal de Saône et Loire.
Dominique de Villepin: « Le défi est exceptionnel »

Flamboyant secrétaire général de l’Élysée, auteur d’un discours inoubliable à l’ONU, ministre de l’Intérieur et Premier ministre, Dominique de Villepin poursuit sa campagne sans pour autant décoller dans les sondages. Il est aujourd’hui en Côte-d’Or.

Le Journal de Saône et Loire: Vous venez rencontrer des chefs d’entreprise : quel message souhaitez-vous leur faire passer ?

Dominique de Villepin: Je viens voir des PME en Bourgogne parce que nous traversons des temps difficiles, que nous avons besoin de dialogue et d’écoute mutuelle. Et dans cette période, comme toujours au cours de leur histoire, les PME sont au rendez-vous. Je les ai, d’ailleurs, mises au cœur de mon programme économique.

Pourquoi la Bourgogne ?

Elle est l’exemple d’une longue histoire avec son tissu industriel dense, son équilibre original entre industrie, agriculture et service. C’est une région qui prouve qu’une identité forte fait une économie forte. Avec un rôle important dans l’innovation sociale et l’économie solidaire.

Vous parlez beaucoup de la crise. Quelles réponses voulez-vous apporter ?

Cette crise économique créée des inquiétudes pour demain car les difficultés des finances publiques créent de l’incertitude pour les aides publiques et sur la pression fiscale. Donc, il y a une vraie insécurité fiscale et administrative à laquelle il faut répondre. Enfin, cette crise crée des opportunités importantes mais pour cela il faut aider nos entreprises à se tourner vers le monde. Je propose un pacte de croissance et d’emploi qui portera sur l’accès au financement : il faut mobiliser l’épargne nationale et orienter 1 % des encours d’assurance-vie vers le financement des PME industrielles, ce sera plus efficace et moins cher qu’un livret d’épargne industriel. Il faut réformer l’impôt sur les sociétés en rééquilibrant la donne par rapport aux grandes entreprises et en soutenant les PME qui investissent leurs bénéfices. Il faut alléger les contraintes et les effets de seuils fiscaux et sociaux : je propose, notamment, la création d’un médiateur de l’entreprise en matière fiscale et sociale pour fluidifier les conflits avec les administrations. Je propose encore, en matière d’emploi, que la contrepartie des exonérations fiscales sur les heures supplémentaires soit affectée à la baisse des charges pour tout nouvel emploi augmentant les effectifs d’une PME ou d’une TPE. Enfin, je propose de changer les mentalités : il faut soutenir la liberté d’entreprendre et donner une deuxième chance. L’échec ne doit pas être une faute mais une leçon pour mieux repartir. C’est ce que nous apprennent les Américains. […]

Source: Le Journal de Saône et Loire

Dominique de Villepin en Côte-d’Or

Premier à avoir répondu favorablement à cette invitation, l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac arrivera à la gare de Dijon vers midi. Il se rendra tout d’abord à Brochon pour visiter la fromagerie Gaugry en présence du maire de la commune, Claude Remy,

Suivra un déjeuner-débat au restaurant Chez Guy avec des chefs d’entreprises de la CGPME, puis une rencontre en mairie avec Jean Claude Robert, maire et conseiller général.

Le déplacement se poursuivra par une rencontre avec François Bigeard, maire de Fauverney et la visite de FM Logistique. Organisée par Alain Brissaud, directeur du site. Le président de la communauté de communes de la Plaine dijonnaise, Jean-Louis Aubertin sera présent ainsi que son vice-présdient, Luc Joliet.

Dominique de Villepin repartira à 17 h 01 de Dijon, dans le même train que François Hollande, présent lui aussi à Dijon ce lundi.

Source: Bien Public

François Hollande et Dominique de Villepin à Dijon

Les deux candidats à l’élection présidentielle seront demain, lundi 6 février, en déplacement à Dijon.

C’est sur le thème de la sécurité que François Hollande sera en visite à Dijon, la ville de François Rebsamen chargé justement des questions de sécurité dans la campagne du candidat.

Dominique de Villepin de son coté poursuit son tour de France des PME.

Source: France 3 Bourgogne

jeudi 2 février 2012

Les sondages c’est à dire du vent !!


Les sondages sont des projections chiffrées à grande échelle de l’opinion à partir d’un échantillon représentatif sur un territoire donné, à un moment donné : c’est à dire du vent. De quelque côté qu’on lesprenne, les sondages se basent sur des statistiques obtenues par des moyens subjectifs, et interprétées par des analyses tout aussi subjectives, et ne finissent par dire que ce qu’on veut bien leur faire dire.

Regardons un peu les choses de plus près, et réfléchissons.


Tout d’abord, il faut pour faire un sondage avoir une ou plusieurs questions à poser, ce qui signifie déjà avoir une idée des réponses que l’on cherche à obtenir, ainsi qu’une opinion naturelle qu’on ne peut exclure de son esprit.

Cette (ou ces) question (s) doivent être formulées en un langage clair et compréhensible de tous, ce qui implique la capacité de savoir lire, et exclut de fait quelques pourcents d’aveugles ou d’illettrés, ou d’étrangers (même parlant français). Il faut également que les mots employés soient neutres pour ne pas influencer la réponse, ce qui est dans la réalité presque impossible à faire. Je ne me rappelle plus le sujet de notre sondage, mais je me souviens que peu après le commencement les débats étaient déjà houleux, et le programme en retard : la simple formulation des questions étant déjà une prise de position, il semblait impossible d’en trouver la neutre expression.

Mais ne nous arrêtons pas là, et voyons la suite


Une fois les questions et les réponses déterminées, il faut se décider sur le territoire sur lequel s’applique le sondage (il y a plus de paysans en province que dans la région parisienne par exemple) car la définition de l’échantillon représentatif en dépend. Ainsi que le moment choisi pour le faire : après un fait divers sordide ou dans le calme d’une période festive comme celle de noël, et tout est différent ! Notre territoire était donc le lycée, et notre population totale composée de deux à trois cents personnes, si ma mémoire est bonne (ou moins de 1000 en tous cas). Enfin un nombre raisonnable au regard de nos capacités d’analyse, compte tenu de la trentaine d’élèves composant notre “institut”.

Pour finir l’établissement de ce sondage, il faut bien sûr le plus important des ingrédients, c’est à dire la détermination de l’échantillon représentatif, qui doit nécessairement évoluer en fonction de l’évolution de la population, c’est à dire du temps qui passe : en 1900, la proportion de certaines catégories socio-professionnelles n’est pas la même qu’en 1945 ou en 2010. Et c’est durant cette étape de détermination de l’échantillon représentatif que notre professeur a commencé à craquer : face à la difficulté de sélectionner les facteurs selon lesquels seraient établies les distinctions, face à la subjectivité qu’entraînait chaque choix, nous avons du nous rendre à l’évidence, à savoir qu’un sondage ne pouvait absolument pas être objectif.

Car que doit représenter l’échantillon ? En théorie l’ensemble de la population si le sondage est national, et le département s’il est départemental. Ce qui signifie que faire un sondage national est censé représenter ce qu’on a par ailleurs tant de mal à définir : l’identité nationale. On commence à voir les difficultés de cette définition dès le départ, mais ne flanchons pas : sachant qu’en général les sondages sont effectués sur une population d’environ mille personne, cela signifie que cet échantillon (sans autre valeur que le hasard) représente environ 1/65000 de la population totale (en gros), dans lequel il faudra tenter de trouver lespersonnes correspondant à tous les critères de représentativité. Cette notion n’est évidemment pas neutre, et ne peut l’être.

Mais certains l’ont tenté quand même : si les paysans représentent tant de pourcents de la population française, alors il faut tant de paysans interrogés dans les mille personnes. Si ce paysan est plutôt à droite, il faut savoir, sur le nombre de paysans français, la proportion de paysans votant à droite. Si son salaire est supérieur à telle somme ou propriétaire de son exploitation, s’il est marié, pacsé, gay ou bio, cela change tout. Ainsi pour le médecin, le chômeur, la femme de ménage ou le plombier.

L’échantillon représentatif est donc une chimère qui ne peut être atteinte, car elle doit faire rentrer dans des cases de multiples paramètres que même des ordinateurs puissants ne peuvent facilement corréler, même sur mille personnes. Car il y a des marges d’erreurs acceptés dans ces sondages, qui proportionnés à l’échelle de la réalité font peur à voir : il est impossible d’obtenir un échantillon représentatif « représentatif », car nul ne sait ce qu’est la France. Et encore moins lorsqu’il s’agit de la réduire à un millier d’individus.

Mais toutes ces difficultés n’effraient pas nos instituts de sondages, dont le peuple comme le pouvoir sont si friands, comme un symbole de la soumission de tous à la loi du chiffre, celle qui veut absolument faire rentrer l’homme dans des cases, et le transformer en une succession de 1 et de 0.

Alors que notre professeur et nous tous avions déjà abandonné la partie, après plusieurs semaines de travail, de questionnements et d’embrouilles incalculables, les véritables sondeurs “professionnels”, eux, ne s’arrêtent pas là. Car il faut avouer que si notre professeur faisait partie des rares personnes qui ont l’honnêteté de reconnaître l’impossible tâche que constitue la fabrique d’un sondage, cela ne rebute pas lesinstituts bien connus de le faire, surtout lorsque l’activité est si lucrative…il leur faut donc passer à l’étape suivante, assumer leur orientation et leurs choix de sondeurs, et poser leurs questions.

Et après avoir posé leurs questions à l’échantillon, les réponses viennent se placer dans de gigantesques tableaux pour se faire analyser, afin de soumettre au commun des mortels une interprétation des chiffres obtenus, incompréhensibles sans la traduction en un langage soi-disant objectif (après toutes ces subjectivités additionnées). Si, par exemple, 80% des gens pensent que l’on doit mettre les étrangers dans des camps, cela signifie en réalité que 80% des personnes ayant répondu à une question tendancieuse, parmi un groupe de personnes choisies plus ou moins arbitrairement, selon des critères douteux et à un moment inopportun, ont vu leur réponse interprétée de telle manière qu’on puisse croire qu’ils le souhaitent.

Ainsi, l’orientation nécessairement délibérée que l’on trouve dans les sondages répétés par les médias ne dépend pas de l’opinion réelle d’une population donnée, mais de la volonté initiale des commanditaires de ces derniers. En bons capitalistes qui se respectent, les instituts de sondage font comme les peintres en bâtiment : ils sont toujours d’accord avec la couleur choisie par celui qui les paye. C’est pour cela que lessondages payés par ceux de droite les conforte toujours, et que ceux payés par ceux de gauche s’y opposent… Et comme à droite on a plus de sous, la voix porte plus loin ! Le sondage, c’est du vent, et le plus fort souffle sur l’opinion, jusqu’à être capable de l’influencer dans une direction choisie.