Dominique de Villepin fête aujourd'hui 14/11/2011 son 58 ème Anniversaire !!
« Notre parti, c'est la France » : Vous souhaite un très bon Anniversaire, Monsieur le Premier ministre !!
Villepin prône "l'unité nationale" par Europe1fr
Semblant renoncer à toute ambition présidentielle, il s’est dit « prêt à contribuer » à un gouvernement d’unité nationale en mai 2012.
L’ex-Premier ministre propose une équipe réduite derrière un président rassembleur
Etait-ce une main tendue à Nicolas Sarkozy, son meilleur ennemi ? Sans le nommer, Dominique de Villepin semble avoir fait un pas vers le président de la République pour 2012. Lundi matin, sur Europe 1, l’ancien Premier ministre a abordé la crise et soulevé au passage la nécessité d’avoir à la barre du navire français un capitaine qui sache rassembler.
« Nous sommes au temps de l’unité nationale. Le meilleur président de la République pour 2012 sera celui qui pourra rassembler. Le jour d’après l’élection, le 7 mai, il faudra un gouvernement d’union nationale. Nous voyons les Etats autour de nous faire cette révolution. Il faut que les Français soient capables de faire ce changement », a jugé Dominique de Villepin.
Il a au passage déploré le manque de hauteur pris par les politiques. « Quand on voit le niveau du débat politique actuel, on ne peut pas être fier de notre pays », a-t-il déploré.
« Un gouvernement resserré de 10-15 ministres »
Concrètement, l’ancien Premier ministre a proposé plusieurs mesures pour que la politique « se mette au niveau de la situation ».
« Je plaide pour de nouveaux instruments, de nouvelles équipes de 10-15 ministres dans un gouvernement resserré, huit régions, un conseil territorial… On ne fait pas de la politique en temps de guerre comme on l’a fait en temps de paix », a martelé dans ce sens Dominique de Villepin.
Interrogé sur un éventuel rôle qu’il pourrait jouer dans ce gouvernement d’unité nationale, Dominique de Villepin s’est montré intéressé, mais sous conditions.
« Je suis prêt à contribuer [à un gouvernement d'unité nationale]. Mais il faut que les conditions soient créées pour cela, la sérénité est nécessaire et il faut que cela se fasse sans arrières pensées politiciennes ».
« Nous courons derrière la crise »/
Cette main tendue, si c’en est une, n’a pas empêché Dominique de Villepin de critiquer les plans d’austérité successifs du gouvernement.
« Nous courons depuis trop longtemps derrière la crise. On le voit, plan après plan. A peine sont-ils adoptés qu’ils sont déjà dépassés. Je voudrais que nous soyons capables d’un sursaut. Il faut changer la donne économique et financière. Nous sommes trop courts sur les ambitions que nous nous fixons », a-t-il regretté. Avec ces plans de rigueur qui se succèdent, estime-t-il, « nous avons à peine la tête hors de l’eau, que déjà nous coulons ».
« Monti peut incarner l’unité italienne »
« Mario Monti peut incarner l’unité italienne. C’est important, durant la crise, de pouvoir rassembler les peuples », a estimé Dominique de Villepin lundi matin sur Europe 1. « Il peut le faire pour l’Italie, comme Papademos peut le faire pour la Grèce. Je crois que nous sommes à l’heure de l’unité des peuples. C’est la condition du sursaut pour chacun de nos Etats », a ajouté l’ancien Premier ministre.
« La zone euro a la capacité de survivre, si elle s’en donne les moyens. Cela suppose de profondes transformations, et en particulier en ce qui concerne la Banque centrale européenne », a-t-il conclu.
Source: Europe 1
Dominique de Villepin appelle à un gouvernement d’unité nationale
Dominique de Villepin est revenu sur le problème de la crise, lundi matin sur Europe 1, soulignant que le vainqueur de l’élection présidentielle de 2012 aura besoin de rassembler les Français en vue d’un gouvernement d’unité nationale.
Invité au micro d’Europe 1 lundi matin, l’ancien premier ministre, Dominique de Villepin, a appelé à élire un président rassembleur en vue d’un gouvernement d’unité nationale face à la crise.
« Nous sommes au temps de l’unité nationale, a-t-il expliqué. Le meilleur président de la République pour 2012 sera celui qui pourra rassembler. Le jour d’après l’élection, le 7 mai, il faudra un gouvernement d’union nationale. »
« Nous voyons les Etats autour de nous faire cette révolution. Il faut que les Français soient capables de faire ce changement », a ajouté M. de Villepin.
Manque d’ambition ?
Une main tendue à Nicolas Sarkozy ? Dominique de Villepin a rencontré le chef de l’Etat le 29 octobre dernier au pavillon de La Lanterne (Yvelines) à Versailles, une résidence officielle et un lieu réservé aux rencontres du premier cercle et aux entretiens discrets, selon Le Figaro.
Dans l’entourage du président de la République, on parlait alors d’une « preuve de la normalisation de leurs relations ». Ce qui n’a pas empêché l’ancien premier ministre de se montrer critique lundi envers les mesures de rigueur prises par le gouvernement, estimant que ce dernier gagnerait à être réduit.
« Nous courons depuis trop longtemps derrière la crise, a-t-il estimé. On le voit, plan après plan. A peine sont-ils adoptés qu’ils sont déjà dépassés. Je voudrais que nous soyons capables d’un sursaut. Il faut changer la donne économique et financière. Nous sommes trop courts sur les ambitions que nous nous fixons ».
« Je plaide pour de nouveaux instruments, de nouvelles équipes de 10-15 ministres dans un gouvernement resserré, huit régions, un conseil territorial… On ne fait pas de la politique en temps de guerre comme on l’a fait en temps de paix », a martelé dans ce sens M. de Villepin.
« Il faut que cela se fasse sans arrières pensées politiciennes »
Quant à savoir quel rôle il se verrait jouer dans ce gouvernement d’unité nationale, l’ancien premier ministre s’est dit intéressé, mais sous certaines conditions.
« Je suis prêt à contribuer [à un gouvernement d'unité nationale]. Mais il faut que les conditions soient créées pour cela, la sérénité est nécessaire et il faut que cela se fasse sans arrières pensées politiciennes ».
Source: France Télévisions
« Notre parti, c'est la France » : Vous souhaite un très bon Anniversaire, Monsieur le Premier ministre !!
Villepin prône "l'unité nationale" par Europe1fr
Semblant renoncer à toute ambition présidentielle, il s’est dit « prêt à contribuer » à un gouvernement d’unité nationale en mai 2012.
L’ex-Premier ministre propose une équipe réduite derrière un président rassembleur
Etait-ce une main tendue à Nicolas Sarkozy, son meilleur ennemi ? Sans le nommer, Dominique de Villepin semble avoir fait un pas vers le président de la République pour 2012. Lundi matin, sur Europe 1, l’ancien Premier ministre a abordé la crise et soulevé au passage la nécessité d’avoir à la barre du navire français un capitaine qui sache rassembler.
« Nous sommes au temps de l’unité nationale. Le meilleur président de la République pour 2012 sera celui qui pourra rassembler. Le jour d’après l’élection, le 7 mai, il faudra un gouvernement d’union nationale. Nous voyons les Etats autour de nous faire cette révolution. Il faut que les Français soient capables de faire ce changement », a jugé Dominique de Villepin.
Il a au passage déploré le manque de hauteur pris par les politiques. « Quand on voit le niveau du débat politique actuel, on ne peut pas être fier de notre pays », a-t-il déploré.
« Un gouvernement resserré de 10-15 ministres »
Concrètement, l’ancien Premier ministre a proposé plusieurs mesures pour que la politique « se mette au niveau de la situation ».
« Je plaide pour de nouveaux instruments, de nouvelles équipes de 10-15 ministres dans un gouvernement resserré, huit régions, un conseil territorial… On ne fait pas de la politique en temps de guerre comme on l’a fait en temps de paix », a martelé dans ce sens Dominique de Villepin.
Interrogé sur un éventuel rôle qu’il pourrait jouer dans ce gouvernement d’unité nationale, Dominique de Villepin s’est montré intéressé, mais sous conditions.
« Je suis prêt à contribuer [à un gouvernement d'unité nationale]. Mais il faut que les conditions soient créées pour cela, la sérénité est nécessaire et il faut que cela se fasse sans arrières pensées politiciennes ».
« Nous courons derrière la crise »/
Cette main tendue, si c’en est une, n’a pas empêché Dominique de Villepin de critiquer les plans d’austérité successifs du gouvernement.
« Nous courons depuis trop longtemps derrière la crise. On le voit, plan après plan. A peine sont-ils adoptés qu’ils sont déjà dépassés. Je voudrais que nous soyons capables d’un sursaut. Il faut changer la donne économique et financière. Nous sommes trop courts sur les ambitions que nous nous fixons », a-t-il regretté. Avec ces plans de rigueur qui se succèdent, estime-t-il, « nous avons à peine la tête hors de l’eau, que déjà nous coulons ».
« Monti peut incarner l’unité italienne »
« Mario Monti peut incarner l’unité italienne. C’est important, durant la crise, de pouvoir rassembler les peuples », a estimé Dominique de Villepin lundi matin sur Europe 1. « Il peut le faire pour l’Italie, comme Papademos peut le faire pour la Grèce. Je crois que nous sommes à l’heure de l’unité des peuples. C’est la condition du sursaut pour chacun de nos Etats », a ajouté l’ancien Premier ministre.
« La zone euro a la capacité de survivre, si elle s’en donne les moyens. Cela suppose de profondes transformations, et en particulier en ce qui concerne la Banque centrale européenne », a-t-il conclu.
Source: Europe 1
Dominique de Villepin appelle à un gouvernement d’unité nationale
Dominique de Villepin est revenu sur le problème de la crise, lundi matin sur Europe 1, soulignant que le vainqueur de l’élection présidentielle de 2012 aura besoin de rassembler les Français en vue d’un gouvernement d’unité nationale.
Invité au micro d’Europe 1 lundi matin, l’ancien premier ministre, Dominique de Villepin, a appelé à élire un président rassembleur en vue d’un gouvernement d’unité nationale face à la crise.
« Nous sommes au temps de l’unité nationale, a-t-il expliqué. Le meilleur président de la République pour 2012 sera celui qui pourra rassembler. Le jour d’après l’élection, le 7 mai, il faudra un gouvernement d’union nationale. »
« Nous voyons les Etats autour de nous faire cette révolution. Il faut que les Français soient capables de faire ce changement », a ajouté M. de Villepin.
Manque d’ambition ?
Une main tendue à Nicolas Sarkozy ? Dominique de Villepin a rencontré le chef de l’Etat le 29 octobre dernier au pavillon de La Lanterne (Yvelines) à Versailles, une résidence officielle et un lieu réservé aux rencontres du premier cercle et aux entretiens discrets, selon Le Figaro.
Dans l’entourage du président de la République, on parlait alors d’une « preuve de la normalisation de leurs relations ». Ce qui n’a pas empêché l’ancien premier ministre de se montrer critique lundi envers les mesures de rigueur prises par le gouvernement, estimant que ce dernier gagnerait à être réduit.
« Nous courons depuis trop longtemps derrière la crise, a-t-il estimé. On le voit, plan après plan. A peine sont-ils adoptés qu’ils sont déjà dépassés. Je voudrais que nous soyons capables d’un sursaut. Il faut changer la donne économique et financière. Nous sommes trop courts sur les ambitions que nous nous fixons ».
« Je plaide pour de nouveaux instruments, de nouvelles équipes de 10-15 ministres dans un gouvernement resserré, huit régions, un conseil territorial… On ne fait pas de la politique en temps de guerre comme on l’a fait en temps de paix », a martelé dans ce sens M. de Villepin.
« Il faut que cela se fasse sans arrières pensées politiciennes »
Quant à savoir quel rôle il se verrait jouer dans ce gouvernement d’unité nationale, l’ancien premier ministre s’est dit intéressé, mais sous certaines conditions.
« Je suis prêt à contribuer [à un gouvernement d'unité nationale]. Mais il faut que les conditions soient créées pour cela, la sérénité est nécessaire et il faut que cela se fasse sans arrières pensées politiciennes ».
Source: France Télévisions
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