Discours de Villepin à l'ONU contre la guerre en Irak

Discours !! Digne d'un grand homme d'Etat !! J'écoute ces paroles, et je me sens fière d'etre Français !! Merci Monsieur Dominique De Villepin !!

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Dominique de Villepin, 18 avril 2011 !!
Je ne veux pas participer à une aventure qui décevrait les Français. Ça implique d'être ambitieux, d'être capable de refonder notre vie politique, refonder notre vie économique et sociale (...). C'est aux citoyens de prendre le pouvoir, c'est au peuple français de prendre le pouvoir, et ça veut dire ne pas laisser les hommes politiques s'arranger entre eux.

mercredi 13 avril 2011

Dominique de Villepin: Mon projet pour la France et pour les Français

Dominique de Villepin dévoile jeudi son projet de "refondation politique" pour 2012

Dominique de Villepin (ex-UMP, RS) présente jeudi les grandes lignes d'un projet qu'il a "fermement l'intention d'incarner" l'an prochain à l'élection présidentielle, même si son espace électoral semble aujourd'hui se réduire avec la montée en puissance de Jean-Louis Borloo.

"Je souhaite proposer une véritable refondation politique, économique et sociale" seule capable de répondre "à la souffrance des Français", a récemment expliquer l'ex-Premier ministre, président du parti "République Solidaire" (RS).

M. de Villepin doit livrer jeudi à la presse les grandes lignes de ce projet qu'il dit avoir "fermement l'intention d'incarner" à la présidentielle.

Sa formation, qui revendique 30.000 adhérents et sympathisants et un réseau social de 11.000 membres , a déjà entamé la chasse aux "500 signatures" nécessaires à la candidature.

Le leader gaulliste a placé la "citoyenneté" au coeur de son projet avec la création d'un "revenu citoyen" de 850 euros, ouvert aux plus de 18 ans n'ayant aucune ressource. "Une dépense de 30 milliards, essentielle pour débloquer le système", a-t-il dit sur France 5.

Dans le même esprit, M. de Villepin souhaite que le vote devienne obligatoire tout comme le paiement de l'impôt sur le revenu, même s'il est symbolique. Il entend également instaurer un service citoyen obligatoire pour une période d'un an fractionnable de 18 à 25 ans.

Dans les entreprises, il entend "changer la donne entre actionnaires et salariés" en proposant qu'"un tiers des postes des conseils d'administration et de surveillance soient réservés aux salariés".

En matière de libertés, il veut préserver l'indépendance des médias en interdisant leur propriété aux groupes vivant de la commande publique, et celle de la justice avec la création d'un "Procureur de la Nation", proposé par le Conseil supérieur de la magistrature et investi aux 3/5e par le Parlement.

S'agissant de la fiscalité, M. de Villepin est favorable à un renforcement des tranches les plus élevées de l'impôt sur le revenu "pour les 500.000 contribuables les plus aisés".

Enfin, au plan institutionnel, M. de Villepin prône "un gouvernement de dix ministres", ainsi que la création de 8 grandes régions à la place des 22 existantes. Un conseil territorial présidé par le Chef de l'Etat définirait tous les 15 jours la stratégie de ces nouvelles collectivités dans la mondialisation.

Le lancement de ce projet intervient une semaine après le geste d'émancipation du radical Jean-Louis Borloo, qui s'est dit prêt à représenter une confédération centriste en 2012 et a tendu la main à Dominique de Villepin: "Evidemment, il est le bienvenu Dominique!"

Cette candidature Borloo pourrait réduire l'espace électoral du président de RS, crédité de 5 à 10% des intentions de vote en 2012, et qui reste sous la menace du procès en appel de l'affaire Clearstream début mai.

Dans un récent sondage Viavoice, la victoire de M. Borloo à la présidentielle était davantage souhaitée que celle de M. de Villepin (22% contre 21%, François Bayrou, du Modem, étant distancé avec 16%).

"Les choses sont parfois plus compliquées qu'elles en ont l'air et je ne crois pas que Nicolas Sarkozy et Jean-Louis Borloo aient vocation à divorcer", a déclaré M. de Villepin en soulignant que les deux hommes avaient travaillé ensemble sans anicroche pendant quatre ans.

Lui dit avoir bâti son projet sur un engagement clair, "mûri, réfléchi", "contre la politique de Nicolas Sarkozy".

Autre différence selon lui, l'offre Borloo se fait sur la "base d'une recomposition de partis". L'ex-Premier ministre affirme lui être guidé par "l'intérêt général".

Source: Agence France Presse

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