Dominique de Villepin a affirmé samedi sur Europe 1 ne pas croire à un 21-avril « dès qu’il y a une offre politique » et des « hommes et des femmes capables de proposer des solutions ».
Questionné sur l’éventualité d’une réédition du 21-avril en raison de sa candidature à la présidentielle, le fondateur de République solidaire a répondu: « A l’endroit ou à l’envers (le 21-avril), c’est la rançon de la médiocrité, c’est le manque de courage politique ».
« C’est des hommes et des femmes politiques qui ne sont pas capables à un moment donné de défendre leurs convictions devant les Français et les Français se rendent parfaitement compte de cela et choisissent les extrêmes », a poursuivi l’ancien Premier ministre.
Pour lui, « s’il y a un choix offert aux Français, qui est indépendant de cette surenchère sur les extrêmes, les Français choisiront des gens qui ont la compétence, l’expérience et la capacité de faire avancer les choses ».
Un 21-avril, il « n’y croit pas dès lors qu’il y a une offre politique, des hommes et des femmes capables de proposer des solutions ».
M. de Villepin a fait valoir qu’il avait, lui, « une expérience ». Il a cité « le patriotisme économique » qu’il a « mis en oeuvre », en demandant: « Qu’est-ce qu’on a fait depuis 5 ans » dans ce domaine.
Pour éviter les délocalisations, il a plaidé pour la création d’une « TVA exportation, environnement, emploi pour abaisser le coût du travail ».
Source: Agence France Presse
Villepin exclut un nouveau 21 avril
Ses détracteurs à droite l’assurent. La candidature surprise de Dominique de Villepin fait courir à droite un risque de dispersion de voix qui pourrait être fatal. Ce matin, invité sur Europe 1, l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac s’est défendu contre ces attaques. Avec en toile de fond, le spectre de l’élection présidentielle de 2002, où la multiplicité des candidatures avait abouti à un second tour inédit sous la Ve République, avec un duel Jacques Chirac /Jean-Marie Le Pen.
Le 21 avril 2002 a été «la rançon de la médiocrité»
Villepin, lui, «ne croit pas à un 21 avril dès lors qu’il y a une offre politique».
«A l’endroit ou à l’envers (le 21-avril), c’est la rançon de la médiocrité, c’est le manque de courage politique», a déclaré le président du mouvement République Solidaire, crédité de 3,5 % de voix dans le dernier sondage Ifop réalisé du 13 au 15 décembre.
En 2002, le 21 avril a été la résultante d’une offre politique qui n’a pas su être à la hauteur des attentes des Français, explique-t-il.
«C’est des hommes et des femmes politiques qui ne sont pas capables à un moment donné de défendre leurs convictions devant les Français et les Français se rendent parfaitement compte de cela et choisissent les extrêmes», a analysé l’ancien Premier ministre.
Une situation, qui évidemment ne se reproduira pas et qui selon lui, alimente la légitimité de sa candidature.
Villepin met en avant son «expérience»
«S’il y a un choix offert aux Français, qui est indépendant de cette surenchère sur les extrêmes, les Français choisiront des gens qui ont la compétence, l’expérience et la capacité de faire avancer les choses», croit savoir Dominique de Villepin. Celui qui se définit comme «un homme politique non professionnel» met en avant son «expérience».
Il cite notamment «le patriotisme économique» qu’il a «mis en oeuvre» et taclé, au passage, le bilan de Nicolas Sarkozy : en s’interrogeant : «qu’est-ce qu’on a fait depuis 5 ans ?».
Source: Le Parisien
Questionné sur l’éventualité d’une réédition du 21-avril en raison de sa candidature à la présidentielle, le fondateur de République solidaire a répondu: « A l’endroit ou à l’envers (le 21-avril), c’est la rançon de la médiocrité, c’est le manque de courage politique ».
« C’est des hommes et des femmes politiques qui ne sont pas capables à un moment donné de défendre leurs convictions devant les Français et les Français se rendent parfaitement compte de cela et choisissent les extrêmes », a poursuivi l’ancien Premier ministre.
Pour lui, « s’il y a un choix offert aux Français, qui est indépendant de cette surenchère sur les extrêmes, les Français choisiront des gens qui ont la compétence, l’expérience et la capacité de faire avancer les choses ».
Un 21-avril, il « n’y croit pas dès lors qu’il y a une offre politique, des hommes et des femmes capables de proposer des solutions ».
M. de Villepin a fait valoir qu’il avait, lui, « une expérience ». Il a cité « le patriotisme économique » qu’il a « mis en oeuvre », en demandant: « Qu’est-ce qu’on a fait depuis 5 ans » dans ce domaine.
Pour éviter les délocalisations, il a plaidé pour la création d’une « TVA exportation, environnement, emploi pour abaisser le coût du travail ».
Source: Agence France Presse
Villepin exclut un nouveau 21 avril
Ses détracteurs à droite l’assurent. La candidature surprise de Dominique de Villepin fait courir à droite un risque de dispersion de voix qui pourrait être fatal. Ce matin, invité sur Europe 1, l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac s’est défendu contre ces attaques. Avec en toile de fond, le spectre de l’élection présidentielle de 2002, où la multiplicité des candidatures avait abouti à un second tour inédit sous la Ve République, avec un duel Jacques Chirac /Jean-Marie Le Pen.
Le 21 avril 2002 a été «la rançon de la médiocrité»
Villepin, lui, «ne croit pas à un 21 avril dès lors qu’il y a une offre politique».
«A l’endroit ou à l’envers (le 21-avril), c’est la rançon de la médiocrité, c’est le manque de courage politique», a déclaré le président du mouvement République Solidaire, crédité de 3,5 % de voix dans le dernier sondage Ifop réalisé du 13 au 15 décembre.
En 2002, le 21 avril a été la résultante d’une offre politique qui n’a pas su être à la hauteur des attentes des Français, explique-t-il.
«C’est des hommes et des femmes politiques qui ne sont pas capables à un moment donné de défendre leurs convictions devant les Français et les Français se rendent parfaitement compte de cela et choisissent les extrêmes», a analysé l’ancien Premier ministre.
Une situation, qui évidemment ne se reproduira pas et qui selon lui, alimente la légitimité de sa candidature.
Villepin met en avant son «expérience»
«S’il y a un choix offert aux Français, qui est indépendant de cette surenchère sur les extrêmes, les Français choisiront des gens qui ont la compétence, l’expérience et la capacité de faire avancer les choses», croit savoir Dominique de Villepin. Celui qui se définit comme «un homme politique non professionnel» met en avant son «expérience».
Il cite notamment «le patriotisme économique» qu’il a «mis en oeuvre» et taclé, au passage, le bilan de Nicolas Sarkozy : en s’interrogeant : «qu’est-ce qu’on a fait depuis 5 ans ?».
Source: Le Parisien
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