Discours de Villepin à l'ONU contre la guerre en Irak

Discours !! Digne d'un grand homme d'Etat !! J'écoute ces paroles, et je me sens fière d'etre Français !! Merci Monsieur Dominique De Villepin !!

Bienvenue sur ce blog de soutien à la candidature de Dominique de Villepin

Dominique de Villepin, 18 avril 2011 !!
Je ne veux pas participer à une aventure qui décevrait les Français. Ça implique d'être ambitieux, d'être capable de refonder notre vie politique, refonder notre vie économique et sociale (...). C'est aux citoyens de prendre le pouvoir, c'est au peuple français de prendre le pouvoir, et ça veut dire ne pas laisser les hommes politiques s'arranger entre eux.

lundi 26 décembre 2011

Villepin accuse les partis de «kidnapper» l'élection




Le président de République solidaire assure qu'il sera «jusqu'au bout» candidat à l'élection présidentielle.

Pas de trêve des confiseurs pour Dominique de Villepin. Le président de République solidaire, officiellement candidat à l'élection présidentielle depuis le 11 décembre, était hier matin, à l'heure de la messe de Noël, l'invité du «Grand rendez-vous Europe 1-Le Parisien- Aujourd'hui en France».

L'occasion pour l'ancien premier ministre de Jacques Chirac de rappeler sa détermination.
On murmure, y compris chez certains de ses soutiens, qu'il pourrait ne plus être candidat en avril prochain. Villepin s'étrangle: il ira «jusqu'au bout» et «aller jusqu'au bout, c'est l'évidence!» ne seraitce que pour montrer, tradition gaulliste oblige, que ce ne sont pas les partis qui commandent la France.

«Ce n'est pas à l'UMP de choisir le président de la République, assène-t-il. Ce n'est pas au
Parti socialiste, pas plus qu'au MoDem ou au Front national. C'est aux Françaises et aux Français! Je
ne veux pas que cette élection présidentielle soit kidnappée par les partis politiques.»

«Très bon accueil»

Villepin veut un «président arbitre», un président «qui rassemble». Sans prononcer le nom de Nicolas Sarkozy, il note: «Nous avons aujourd'hui, il le revendique, un président de droite. La France ne veut pas vivre avec un président hémiplégique qui représente une seule partie des Français.» Il en profite pour critiquer la proposition de loi pénalisant la négation des génocides: «On ne légifère pas sur la mémoire.»

Et ajoute, comme en écho aux accusations du premier ministre turc: «Est-ce que nous serions heureux que le Parlement algérien légifère sur la mémoire? (…) La Turquie a un chemin à faire, une réflexion à mener (…) Que par le travail de nos historiens nous puissions contribuer à faire évoluer les choses, très bien! Que nous agissions sur le terrain politique avec des arrière-pensées qui en cette période électorale sont évidentes, c'est très malsain et c'est une erreur.»

Pendant ce temps, les élus sont en train de recevoir la lettre de Dominique de Villepin qui sollicite leur parrainage. Dans l'entourage du candidat, on ne veut donner aucun chiffre. Il y a «un très bon accueil» de la part des maires de France, souligne simplement le député de l'Hérault Jean-Pierre Grand, fidèle d'entre les fidèles de Villepin. Celui-ci, sur Europe 1, n'a évidemment exprimé aucun doute: «J'ai parfaitement confiance dans la capacité que nous avons de rassembler plus de 500 signatures et de mobiliser les moyens nécessaires pour une campagne.»

Un chevalier, un fugitif ou un résistant

Dans sa lettre, il demande que sa «voix puisse être entendue dans le débat démocratique».«Monsieur le Maire, écrit le président de République solidaire, m'accorder votre parrainage, c'est une décision 3 qui vous incombe en conscience, en toute indépendance de votre conseil et abstraction faite de toute préférence personnelle. Qui fera vivre le rassemblement national, sinon une voix indépendante, libre de tout appareil partisan?» Citant Gambetta, Clemenceau et Charles de Gaulle, il dit aussi vouloir «porter dans cette élection une alternative et une refondation économique, sociale et politique de notre pays».

Décidément omniprésent en cette période de fêtes, Dominique de Villepin s'illustre aussi dans une originale interview au magazine mensuel GQ, où il se compare successivement à un chevalier, un fugitif ou un résistant dans le film L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville. Il raconte qu'enfant, à la sortie de l'école,«(nous) avions des batailles rangées à coups de chaînes, la tête contre les portes des bagnoles, en sang!».

Pas étonnant dès lors que, se voyant aussi en d'Artagnan, il affirme : «S'il faut mourir pour quelque chose, je suis là.»

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire